21/09/2019
Gente
Ondulation spasmodiques l'aspiration au creux du cou
Inclination atomique à tomber dans sa gorge
Soutenue par les sphères me nourrit à genoux
Pamoison retenue contenue me grossit
Je jette un ciel de pierre à l'aurore des nuées pâles
Et l'attend, épée vorpale, de ta danse assurée
D'un glissement réciproque de désirs agencés
atteint à sa propre magie l'étonnement courroucé
par l'abandon d'une fièvre durant pour l'éternité.
Abandonnée.
A soi, à l'autre, étendus et mourants, attisé le limier
Aux sursauts furtifs d'abus et de merveille,
Les paupières déployées à demi closes...
19:21 Publié dans texte | Lien permanent | Commentaires (0)
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